C'est juste que je ne connais aucune condition de posé pour laquelle une PTU propre n'est pas la meilleure solution. C'est la seule approche qui permet de bien gérer plusieurs ailes en approches et c'est l'approche qui nécessite la moindre largeur de terrain et s’accommode donc le mieux des obstacles en entrée de terrain. Et surtout, pour ne pas trop partir en hors-sujet, c'est l'approche qui permet de se mettre debout le plus loin du sol et donc de sauver sa colonne vertébrale en cas de sketch.
Il me semble que tu appréhendes mal ce qu'est une PTS. Bien exécutée, tu peux poser dans toutes les situations, tu es en permanence bien placé sur ton étape de base pour entrer en finale ce qui facilite l'adaptation en cas de conditions fluctuantes. En entrant haut tu peux même faire une finale longue pendu comme un jambon si cela te fait plaisir
. On peux noter que les crossmens qui vachent sur terrain inconnus utilisent principalement la PTS pour des raisons d'efficacité.
L'avantage indiscutable de la PTU est la gestion du trafic (on évite les trajectoires convergentes), c'est la raison pour laquelle c'est l'approche recommandée sur la plupart des terrains fréquentés (dont Samoens).
Se lever tôt ? J'ai pendant plusieurs années fait relever mes élèves dès le début de la finale. Mon expérience montre qu'il est plus efficace de rester assis en finale avec une position "près à sortir". On se relève en utilisant l'appui des mains au moment du demi frein (d'où l'importance de freiner les mains en arrière du cul et non devant).