D'accord, si pas de brise ou pas de vent, pas de gradient.
Dans 99 cas sur 100, le pilote dira "c'est le gradient" plutôt que "j'ai déconné, je n'ai pas été attentif", et toi du dis quoi ?
Merdeeee... je pourrais me baffer ! D'accord, si pas de brise ou pas de vent, pas de gradient.
Dans 99 cas sur 100, le pilote dira "c'est le gradient" plutôt que "j'ai déconné, je n'ai pas été attentif", et toi du dis quoi ?
Wowo s’il rate un atterrissage, il écrit sans doute une thèse de doctorat.
Ce sera toujours mieux que de ne plus être jamais capable d'écrire quoi que ce soit, non ?
Plus sérieux et sans prétendre que c'est une réponse pour chacun, seulement que cela a très bien fonctionné pour moi et pas que en parapente. À partir du moment où j'ai systématiquement d'abord cherché chez moi l'erreur quand quelque chose foiré dans mes activités avant de vouloir partager ma responsabilité avec autrui ou "pas de chance", j'ai connu beaucoup moins de loupé. Ce qui évidemment ne signifie en aucune façon plus de loupé du tout. Mais moins assurément, déjà en ne répétant pas les mêmes.
Parmi toutes, on est la "cause" de nos échecs sur laquelle il est le plus facile et efficace d'agir si on se reconnaît à ses dites-erreurs. Forcément si on est convaincu que c'est jamais notre faute mais seulement celles des autres et bien sûr de "pas de chance" alors on peut être rassuré sur nos supers compétences juste dommage que ça loupe régulièrement et que... ça fait mal.