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Forum de parapente

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Auteur Fil de discussion: Voile montagne...  (Lu 48709 fois)
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Norby
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Aile: Rook2, Ultralite 3 et Bi SORA
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« Répondre #50 le: 14 Décembre 2016 - 09:51:37 »

Ce n'est pas son programme, mais elle s'y plie très bien.

J'espere pas trop quand meme ...  Clin d'oeil
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Mme POB
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Aile: Nervures Diamir (n°8 et n°211) et Niviuk Artik2
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« Répondre #51 le: 23 Janvier 2017 - 12:11:26 »

Encore un grain de sel.

Ma longue expérience d'alpiniste m'a appris depuis belle lurette qu'en montagne, les solutions mixtes ne font que cumuler les inconvénients.
Bref, quand on part sur l'idée d'une voile ultra-légère, on ne va pas l'affubler d'élévateurs-sangles et de suspentes à amarrer les pétroliers.
De même on ne va pas équiper une voile lambda lourde avec un suspentage fin et des élévateurs en tresse Dyneema ou équivalent... qui modifieraient probablement son comportement.

Il faut savoir ce qu'on veut.

D'accord, j'ai un caractère et un tempérament assez extrémistes mais avec l'âge sont venues la mesure et la conscience de la relativité des choses. Le style reste sec et le verbe reste précis mais je suis beaucoup plus tolérante que jadis.

Je rappelle donc qu'il est inexcusable d'emmêler des suspentes au pliage et pire d'emmêler les poignées dans les élévateurs. Cela ne m'arrive jamais et cela ne devrait jamais arriver :
1 - Dès que je me pose, je raccroche les poignées avec des petits clips en plastique, encore plus légers que les velcros d'origine... lesquels ne velcrotent plus quand il y a dedans de la poussière et des fibres diverses.
2 - Je ne plie pas mes voiles, je les roule avec les suspentes bien étalées dans l'intrados. De cette manière, il n'y a jamais de coude à angle vif sur des suspentes et jamais d'emmêlement. Accessoirement cela évite les frottements de l'extrados sur le sol qui usent le tissu, et cela permet de "plier" tranquillement avec du vent. Cela permet aussi de faire sécher la voile très facilement.
3 - Au déco, je déroule la voile. Il suffit de saisir les élévateurs et tout le suspentage apparaît en ordre, le montage sur la sellette est évident et les freins ne s'emmêlent pas avec le reste.
4 - Une fois que tout est en place, je décroche les freins et je les écarte, je me mets dans la sellette, je prends les freins et il n'y a plus qu'à décoller.

Tout ça c'est une pratique de 10 ans pour environ 700 vols-rando, avec des décos sur toutes sortes de terrains dont une quinzaine en haute montagne sur terrain glaciaire.

On a le droit de faire autrement.

Ma pratique a un inconvénient : quand il y a du vent, la meilleure disposition d'une voile au sol est en corolle, avec seulement les caissons centraux ouverts. Avec ma pratique, c'est a priori compliqué par vent fort. Je prépare alors la voile dans le lit du vent, avec une charge sur le stab au vent, je monte la sellette puis je mets la voile en boule.
Cet inconvénient par vent un peu fort ne se manifeste pas souvent et ne contredit pas ma façon de faire.

Un autre avantage de rouler la voile, c'est que c'est faisable dans un espace très restreint, par exemple sur mon lit dans ma caravane quand j'ai dû l'y faire sécher. Ce n'est pas grand une caravane et la mienne réserve très peu d'espace libre.
En 2011, j'étais rentrée à Paris avec une cheville cassée et ma voile avait été tassée en vrac dans son sac. Une fois chez moi, nonobstant le plâtre et les béquilles, j'ai déplié la voile dans mon salon (16m²) et je l'ai pliée correctement. Cela aurait été impossible en accordéon, ce fut évident en la roulant.
 trinquer  Râââ !... j'ai envie de voler.
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Lassalle
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Aile: Je ne vole plus. Dernière voile : Ultralite1 (Ozone).
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« Répondre #52 le: 23 Janvier 2017 - 13:00:32 »

Bonjour,

 1

Je possède une voile ultralégère de montagne (une Ultralite 1 d'Ozone) et je suis bien d'accord avec Sagarmatha.

- je n'ai jamais plié ma voile en accordéon ; je la roule toujours (sans l'écraser) ;
- j'ai des élévateurs Dyneema fins et, en soignant un tout petit peu la prévol, je n'ai jamais eu de problèmes avec au décollage.  pouce
- je continue à utiliser les petits velcros d'origine pour accrocher les freins (mais la voile n'a pas beaucoup d'heures de vol et ces velcros accrochent encore !).

Si on cherche une voile polyvalente allégée pour vols montagne et vols sur site, pourquoi pas des sangles plates et du suspentage gainé ?

Mais si on a une voile dédiée aux vol rando et/ou haute montagne (c'est mon cas), autant avoir du matériel ultraléger partout (tissu de la voile, élévateurs, suspentage entièrement dégainé...).
Avec un peu d'habitude cela ne pose aucun problème particulier.

 trinquer

Marc
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kay74
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« Répondre #53 le: 23 Janvier 2017 - 13:18:44 »


...
Mais si on a une voile dédiée aux vol rando et/ou haute montagne (c'est mon cas), autant avoir du matériel ultraléger partout (tissu de la voile, élévateurs, suspentage entièrement dégainé...).
Avec un peu d'habitude cela ne pose aucun problème particulier.

 trinquer

Marc

 1
Tout nouveau propriétaire d'une PI 2, je l'ai prise version light car à mon avis c'était un non sens de prendre les élévateurs standards vu l'utilisation prévue...
A savoir que maintenant, depuis janvier 2017, Advance ne livre plus les accélérateurs avec les ailes, mais avec les sellettes.
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BenHoit
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« Répondre #54 le: 23 Janvier 2017 - 13:55:31 »

(...)
- j'ai des élévateurs Dyneema fins et, en soignant un tout petit peu la prévol, je n'ai jamais eu de problèmes avec au décollage.  pouce
(...)
Si on cherche une voile polyvalente allégée pour vols montagne et vols sur site, pourquoi pas des sangles plates et du suspentage gainé ?

le gain de poids entre élévateurs sangle et élévateurs dynema est insignifiant (150g ... même si l'addition de choses insignifiantes finit par peser ...)
par contre, qd tu as 2 voiles (une site et une pour la rando), tu voles moins souvent avec la light (et tu as donc moins d'automatismes) ...

et qd je vois comment Mme se bat avec sa prise de commande : il faut être minutieux pour éviter que le frein fasse un tour d'élévateur ... et on n'a pas toujours le temps de (ou l'espace pour) bien poser son matos sur les décos montagne.
Contrairement à des élévateurs sangle, il ne suffit pas de les laisser pendre pour qu'ils se mettent dans l'ordre (les freins dessus et les A derrière)
pour moi, ces élévateurs sont accidentogènes et le gain de poids ne le justifie pas !
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Mme POB
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« Répondre #55 le: 06 Février 2017 - 10:45:58 »

Je vole depuis 2009 en rando / paralpinisme avec des voiles ultra-légères équipées en tresses Dyneema et suspentes non gainées, plus de 700 vols de ce type au compteur et jamais je n'ai vu ni ouï dire que ce genre de matériel pût être peu ou prou accidentogène.
L'imaginer n'est que du fantasme et c'est irrationnel.
Dans les sports extrêmes, et le nôtre en fait un peu partie, l'irrationnel est accidentogène.

J'ai décollé sur toutes sortes de terrains, parfois très courts et très pourris, des décos à se faire peur quand on a du jeu dans les neurones. Préparer la voile sur de tels terrains est un exercice redoutable pour les gens impressionnables, c'est seulement un exercice méticuleux pour un esprit rationnel qui ne laisse rien au hasard.
Et ce n'est pas accidentogène.

L'Ultralite 1 a des mylars très minces qui ne ressemblent pas aux tables de ping pong de la Boléro, rouler la voile est évident et ce d'autant plus qu'elle est toute en Skytex 27. Ma U-Turn est en Dokdo 26 avec joncs et je suis tout aussi soigneuse qu'avec l'Ultralite. Elle est aussi en 3-lignes, il y a très peu de suspentes et elles sont encore plus fines que ma retraite, on ne chahute pas une voile comme ça.
C'est le manque de soin qui est accidentogène.

Le pilote avisé sait quel type de terrain il va trouver et quelles conditions il va rencontrer, le mental est préparé et tout le vol est déjà en place dans la tête. C'est le manque de préparation qui est accidentogène.

Bon, il y a des gens qui font du vol-rando juste une fois de temps en temps et la plupart du temps pour monter décoller sur un site officiel à pied plutôt qu'en voiture ou télécabine, c'est une pratique plus tranquille que d'autres en supprimant les aléas physiques du déco... encore que ce ne soit pas toujours évident, ceux qui connaissent le Grand Bornand et le Semnoz me comprendront, cela peut être rock n'roll quand il y a de l'air.
Avec Corinne, la politique est différente : "on y va et on trouvera bien un endroit d'où décoller". Elle est capable de décoller à des endroits où je n'aurais jamais l'idée ne serait-ce que d'ouvrir le sac et c'est là une pratique que d'aucuns pourraient identifier comme accidentogène... ce qui ferait bien rigoler Corinne et son rire est contagieux.
Pour moi, c'est une audace réfléchie qu'elle peut se permettre parce qu'elle se connaît très bien.

Il faut raison garder. Les gens n'ont pas tous les mêmes perceptions de leur environnement ni de leurs limites et c'est quand on transgresse ses propres limites qu'on se met potentiellement en danger.
Les sports extrêmes sont une fantastique école de la Vie et un puissant facteur d'épanouissement de la personnalité qu'ils contribuent à construire. On en reviendra toujours au "connais-toi toi-même" de Socrate auquel j'ajouterai : "ne projette pas sur l'autre ce que tu ne possèdes pas".
 trinquer
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« Répondre #56 le: 06 Février 2017 - 11:05:47 »

tu as le droit d'avoir un avis différent du mien, mais ta littérature ne me fait pas changer d'avis Clin d'oeil
il n'y a que les êtres exceptionnels qui ne font jamais d'erreur (je ne doute pas une seconde que tu en fasses partie Clin d'oeil)... Et ce jour là, un matériel adéquat peut te sauver la mise !
Donc je suis bien d'accord pour dire que ces élévateurs sont un matériel sûr (la preuve ça marche quasi tout le temps).

Sauf que le jour où tu te rates (parce que distrait ou pressé ou je ne sais quoi d'autre), l'erreur est possible (il n'y a qu'à voir le nombre de vidéo où on constate des élévateurs montés à l'envers).
Avec des élévateurs sangle, l'erreur (de montage ou de prise de commande) est toujours possible mais dans une moindre mesure.
Je n'impose mon point de vue à personne, je dis juste qu'on devrait pouvoir choisir comme le propose Nervures.
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choucas
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« Répondre #57 le: 06 Février 2017 - 11:28:27 »

Salut

C'est vrai (il faut le reconnaître) que les voiles light équipés d'élévateurs dyneema, qu'ils soient tressés ou en sangles, sont plus compliqués à prendre en main que les élévateurs traditionnels. Partant de ce principe, il faut reconnaître que ça peut-être une source de stress (accidentogène), d'erreur de prise de commande (accidentogène), de perte de temps (accidentogène en haute montagne), ...

Rien de très grave, mais une petite attention supplémentaire pour éviter l'incident. Pour rejoindre l'avis de chomolungma, il faut reconnaître que l'accidentologie liée aux voiles light est quasi nul et en tous cas pas grave à ce jour à ma connaissance.

A+
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« Répondre #58 le: 06 Février 2017 - 11:51:34 »

Bonjour,

Personnellement je n'ai pas eu à choisir entre des élévateurs plats ou tressés en dyneema puisque l'Ultralite d'Ozone n'était livrée qu'avec ces derniers.

Remarques :

- je ne sépare absolument jamais ma voile et ma sellette, donc aucun souci de montage des élévateurs sur la sellette (aucune erreur possible) ;
- il faut être un peu soigneux à la prévol pour bien positionner la ligne des freins par rapport aux élévateurs ;
- mais au début (cela ne se produit plus) il m'est arrivé de décoller avec un tour de frein autour de l'élévateur, mais ceci ne pose absolument aucun problème pour le gérer : la finesse des élévateurs fait que les freins coulissent sans aucun problème (même avec un tour autour des élévateurs) : il suffit de s'écarter du relief (la voile se pilote sans aucun souci) et ensuite de défaire le tour de frein et reprendre la commande en main.
Ce n'est en aucune façon accidentogène !

Mais si un pilote possède une unique voile avec laquelle il fait à la fois des vols sur site et à l'occasion des vols rando ou montagne, je comprends tout à fait qu'il puisse préférer des élévateurs plats de type sangle.

Tous mes amis adeptes des vols montagne volent sous Ultralite (nous avons acheté ces voiles à peu près au même moment et c'était alors LA référence en matière de voile spécialisée montagne) et aucun d'eux ne s'est plaint des élévateurs tressés en dyneema.  pouce

Marc
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« Répondre #59 le: 06 Février 2017 - 11:57:37 »

- mais au début (cela ne se produit plus) il m'est arrivé de décoller avec un tour de frein autour de l'élévateur, mais ceci ne pose absolument aucun problème pour le gérer : la finesse des élévateurs fait que les freins coulissent sans aucun problème (même avec un tour autour des élévateurs) : il suffit de s'écarter du relief (la voile se pilote sans aucun souci) et ensuite de défaire le tour de frein et reprendre la commande en main.
Ce n'est en aucune façon accidentogène !

si vous considérez que ce genre de chose est "normal" alors ... je passe mon tour ... bien sûr que ce genre de situation peut conduire à l'accident : tout ce qui monopolise l'attention en phase de décollage/atterrissage est un pb !
PS : le fait de ne pas séparer ta voile de ta sellette te garantit un bon montage des élévateurs mais ne t'affranchit pas d'un tour de sellette ...

Une dernière fois, ce que je reproche à ce genre d'élévateurs c'est le manque de visibilité de la situation en un coup d’œil rapide.
Dans des cas particuliers (vol fréquent avec la même voile et/ou pilote très précautionneux), ce matériel est tout à fait satisfaisant.
« Dernière édition: 06 Février 2017 - 12:04:43 par BenHoit » Signaler au modérateur   parapente Enregistrée
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« Répondre #60 le: 06 Février 2017 - 12:08:06 »

(@) BenHoit
Je m'attendais à un trait d'ironie.  pouce

L'argument qui enfile des "si" comme des perles est assez misérable.
Quand on n'a pas une technique éprouvée, un soin méticuleux et une perception raisonnée de l'environnement en montagne, on a meilleur compte de voler en école avec un moniteur qui supervise la prévol, voire de se mettre au tricot, aux boules ou à l'élevage des chats.
Je n'ai rien contre ces pratiques, c'était une image.

Je sais de quoi je parle, m'étant cassé la gueule à mes débuts sur mon 3ème vol-rando. 10 mois et 8 jours sans voler, dont 8 mois sur des béquilles, avec une rééducation longue et douloureuse, cela donne du temps pour réfléchir.
Des erreurs, même les meilleurs peuvent en commettre et "en montagne, celui qui s'est trompé a rarement la possibilité de corriger son erreur".
J'ai failli me tuer à l'Aiguille Verte en 1974 et à la Tournette en 2007, les deux fois la Montagne n'a pas voulu.
D'autres ont eu moins de chance.
Je n'avais pas commis d'erreur technique en 74 mais il y avait une cordée au-dessus, qui déclencha une chute de pierres.
J'avais commis plein d'erreurs en 07, j'avais tout faux. J'en ai commis d'autres depuis, de plus en plus rares, chaque erreur est un facteur de progrès quand on sait l'analyser sans complaisance.

La survie des alpinistes, des marins et des adeptes des sports aériens dépend d'un grand nombre de facteurs, que l'expérience permet de maîtriser de mieux en mieux, et d'impondérables qui eux aussi peuvent être gérés grâce à l'expérience, mais cela ne suffit pas toujours, c'est le facteur chance qui entre alors en jeu.
Nous avons tous connu des situations comme ça et nous avons tous connu des gens qui n'ont pas eu de chance et qui ne s'en sont pas tirés.

En situation de danger absolu, celui qui sait dominer sa peur a plus de chances de survivre que celui qui se laisse dominer. Quand il n'y a pas de danger, avoir peur est absurde.

(...) les voiles light équipés d'élévateurs dyneema, qu'ils soient tressés ou en sangles, sont plus compliqués à prendre en main que les élévateurs traditionnels. Partant de ce principe, il faut reconnaître que ça peut-être une source de stress (accidentogène), d'erreur de prise de commande (accidentogène), de perte de temps (accidentogène en haute montagne), ...

Rien de très grave, mais une petite attention supplémentaire pour éviter l'incident. Pour rejoindre l'avis de chomolungma, il faut reconnaître que l'accidentologie liée aux voiles light est quasi nul et en tous cas pas grave à ce jour à ma connaissance.

 pouce  Je ne peux que "plussoyer", en ajoutant quelques grains de sel :
- On ne se lance pas dans le vol-rando quand on ne sait pas voler (j'en sais quelque chose).
- On ne part pas faire un vol-rando avec une voile qu'on ne maîtrise déjà pas au sol.
- Aucun des copains auxquels j'ai prêté mes voiles montagne n'a été dérouté par les élévateurs en tresse, que ce soit pour voler ou pour jouer au sol.
- Les élévateurs en tresse ou en sangle déroutent le néophyte mais une séance de gonflage permet de s'y habituer, je ne vois pas où serait le problème.
- J'ai conseillé à une copine en sortie d'init d'opter pour la Masala 2 et les élévateurs l'ont déroutée, ce qui est bien normal pour une débutante. Je me suis mise dans sa sellette, j'ai pris les commandes et j'ai levé sa voile, lui expliquant à chaque geste combien c'était évident. Et une heure plus tard elle décollait à la perfection, avec une prise de commandes impeccable.
- Si les constructeurs équipent ainsi leurs voiles légères, c'est évidemment après avoir fait des quantités d'essais, aucun n'a envie d'être poursuivi en justice pour avoir commercialisé des machins dangereux.
- Il y a dans l'industrie une quantité de normes qui régissent tous les stades de la fabrication. Les élévateurs légers sont eux aussi fabriqués en fonction de normes et avec toujours un coefficient de sécurité de 3. Cela signifie par exemple que si un pont peut, "sur le papier", contenir un embouteillage de camions le chargeant à 5000t, ce qui n'arrivera jamais en pratique, on va le définir et le construire pour qu'il puisse résister à une charge de 15000t sans casser.
 trinquer
« Dernière édition: 06 Février 2017 - 12:20:26 par Sagarmatha » Signaler au modérateur   parapente Enregistrée
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Aile: Je ne vole plus. Dernière voile : Ultralite1 (Ozone).
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« Répondre #61 le: 06 Février 2017 - 12:17:10 »


si vous considérez que ce genre de chose est "normal" alors ... je passe mon tour ... bien sûr que ce genre de situation peut conduire à l'accident : tout ce qui monopolise l'attention en phase de décollage/atterrissage est un pb !
PS : le fait de ne pas séparer ta voile de ta sellette te garantit un bon montage des élévateurs mais ne t'affranchit pas d'un tour de sellette ...

Une dernière fois, ce que je reproche à ce genre d'élévateurs c'est le manque de visibilité de la situation en un coup d’œil rapide.
Dans des cas particuliers (vol fréquent avec la même voile et/ou pilote très précautionneux), ce matériel est tout à fait satisfaisant.

Je n'ai bien sûr pas écrit que ceci (un tour de frein autour de l'élévateur) était "normal".  pouce
Cela a dû m'arriver deux fois lors de mes 5 premiers vols avec l'Ultralite (prévol un peu bâclée trop rapidement).
Depuis cela ne m'est plus jamais arrivé (je prends le temps de vérifier avant de décoller !).
Quant au tour de sellette, cela ne m'est absolument jamais arrivé depuis que je vole en parapente !
Il suffit de tendre un peu les suspentes, partir des élévateurs vers la sellette et on voit immédiatement s'il y a un tour ou non, quels que soient la voile ou le type d'élévateurs !

Marc
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« Répondre #62 le: 06 Février 2017 - 12:22:43 »

Moi je suis débutant , mais j'habite dans les alpes, alors je fait du hike & fly.
mon matériel c'est un pi 23 (avec élévateurs en dynema ) et  suspentes non gainées et un sellette  neo string avec le secours  frontal.

quand tout va bien tip top, aucun problème. mais  décoller   sur la neige molle a 3800-4000 avec un peu du vent qui  fait bouger la voile, les suspentes invisibles qui sont accrochés a la neige les élévateurs qui font de tours sans arrêt ...... des fois n'arrive même pas a décoller ou je veut.

pour moi, le poids de la voile n'est important, plutôt le volume que elle prend, alors pour l'avenir  je chercherai des élévateurs standard  si possible,300 gr de  plus c'est rien  pour le confort que ça donne surtout confort mentale.
pour les suspentes je préfére  tout gainée , c'est question du temps que je va casser 1 et plus voler ce jour.
pour que la voile ne bouge plus, je prend de la neige et je couvre partiellement la voile, elle reste en place  et après en décollant la neige tombe.
laisser la sellette deja  attache c'est un gage de sécurité  que si je peut j'essai de faire.

en montagne, il y a de fois que  faire la prevol, n'est pas facile, la il faut prendre le risque ou renoncer  , aucun des deux est jamais  facile

pour  de voile comme la pi qui sont autour de 2.3-2.7 kg,  je pense que  le volume c'est plus important que le poids , qui cherche plus léger  il faut passer en mono surface, mais  entre 3 et 4 kg au total, on ne ressent pas la différence .au moins moi pour les practiques que je fait.
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« Répondre #63 le: 06 Février 2017 - 14:00:25 »

Pour les élévateurs, il faut distinguer entre les sangles classiques, traditionnellement larges pour les ailes de début et plus étroites pour les ailes perfo, les sangles plates Dyneema et les drisses Dyneema.

Les élévateurs en drisse Dyneema sont en effet on ne peut plus chiatiques pour les sous-doués comme moi, et rajoutent lors des décollages un stress à la manipulation qui ne va pas dans le sens de la sécurité.
Dès que les conditions ne sont pas idéales (vent travers ou rafaleux, décollage sauvage encombré de broussailles...), il devient problématique de les mettre en bon ordre et de visualiser leur préparation adéquate. Ça rajoute encore de la difficulté à un moment où on n'en a pas vraiment besoin. Il m'est déjà arrivé en utilisant des voiles ainsi équipées, de décoller volontairement avec le fameux tour de frein que je m'épuisais trop à tenter de sortir au sol.
Je n'ose même pas imaginer dans la neige glissante, près d'un sommet et fatigué pas la montée à pied !

Je trouve que les sangles plates étroites Dyneema sont une bonne alternative, légères mais plus faciles à manipuler et à ordonner.
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« Répondre #64 le: 06 Février 2017 - 14:04:28 »

Pour les élévateurs, il faut distinguer entre les sangles classiques, traditionnellement larges pour les ailes de début et plus étroites pour les ailes perfo, les sangles plates Dyneema et les drisses Dyneema.

Je trouve que les sangles plates étroites Dyneema sont une bonne alternative, légères mais plus faciles à manipuler et à ordonner.

Tu as sans doute raison sur ce point, mais en ce qui me concerne :

- je ne sais pas à quoi ressemblent ces sangles plates étroites Dyneema (peux-tu m'indiquer une voile munie de tels élévateurs pour que je trouve des photos ?) ;
- et elles n'étaient pas disponibles lors de l'achat de mon Ultralite !

Je n'ai donc pas eu le choix (c'est cette voile que je voulais acheter) et je me suis adapté !

Marc
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« Répondre #65 le: 06 Février 2017 - 14:17:53 »

Vouaip, alors des élévateurs sangle Dyneema (la sangle est plate)

et des élévateurs drisse Dyneema (la drisse est tubulaire)


Avec la bonne qualité de "raideur" de sangle, on arrive à quelque chose de très correct à la manipulation et le poids est contenu. J'imagine que ça va se généraliser, au moins pour les ailes légères.
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« Répondre #66 le: 06 Février 2017 - 14:20:36 »

Merci pour les photos.
On apprend tous les jours quelque chose sur ce forum.  bravo
Les élévateurs de mon Ultralite sont du type de ceux de la seconde photo.

Marc
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« Répondre #67 le: 06 Février 2017 - 15:19:29 »

Les élévateurs en drisse Dyneema sont en effet on ne peut plus chiatiques pour les sous-doués comme moi, et rajoutent lors des décollages un stress à la manipulation qui ne va pas dans le sens de la sécurité.
Dès que les conditions ne sont pas idéales (vent travers ou rafaleux, décollage sauvage encombré de broussailles...), il devient problématique de les mettre en bon ordre et de visualiser leur préparation adéquate. Ça rajoute encore de la difficulté à un moment où on n'en a pas vraiment besoin.

ça me rassure de voir qu'il y a d'autres sous-doués (je me sentais seul sur ce fil avec mes 2 camarades sur-doués, sur-entrainés et sur-concentrés en toutes circonstances Clin d'oeil) ...
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« Répondre #68 le: 06 Février 2017 - 15:26:39 »

Ça fait un moment que j'ai compris que dans le parapente il n'y a que les champions du monde qui s'expriment. C'est pour ça que de temps en temps je choisis délibérément de donner à entendre mon vécu plus représentatif du tiers inférieur des pilotes...
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Christian-Luc
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« Répondre #69 le: 06 Février 2017 - 15:29:20 »

t'inquètes benhoit, je le confesse moi aussi: tu peux compter un sous-doué de +
 Clin d'oeil
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Lassalle
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« Répondre #70 le: 06 Février 2017 - 17:18:14 »


ça me rassure de voir qu'il y a d'autres sous-doués (je me sentais seul sur ce fil avec mes 2 camarades sur-doués, sur-entrainés et sur-concentrés en toutes circonstances Clin d'oeil) ...
 

Salut,

J'ose espérer que je ne fais pas partie dans ton esprit des deux "surdoués" et "surentraînés" dont tu parles.  pouce

En effet j'ai signalé sur ce fil :

- qu'il m'était arrivé au moins deux fois de décoller avec un tour de frein avec mes élévateurs tressés en dyneema (ce qui pour un surdoué, bof !)  hein ?
- que je m'étais habitué à ce type d'élévateurs (que je n'ai pas spécialement choisis puisque c'est la voile qui était mon choix et non ses élévateurs !) et que je ne me sentais pas particulièrement en danger en les utilisant.

Pour ce qui est de l'adjectif "surentraîné" cela me fait un peu sourire avec ma quinzaine de vols annuels (et mes 10 h à 12 h de vol environ par an) depuis un paquet d'années (sans compter mes deux années d'arrêt à cause de mes problèmes de santé).

Je pense qu'il doit y avoir peu de pilotes sur ce forum (y en a-t-il d'ailleurs ?) qui sont aussi peu "entraînés" que moi, alors le terme "surentraîné" fait un peu sourire  hein ?

Mais j'imagine que ce n'est pas à moi que tu faisais allusion ?

 trinquer

Marc  salut !


« Dernière édition: 06 Février 2017 - 17:23:23 par lassalle » Signaler au modérateur   parapente Enregistrée
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« Répondre #71 le: 06 Février 2017 - 19:45:20 »

Citation
je me sentais seul sur ce fil

Ben non, t'es pas tous seul "Jeff"  Clin d'oeil

Les drisse en Dyneema tressé de l'UL sont une des raisons que j'ai choisi de passer à la PI2 avec élévateurs "normaux", bien qu'étroits et légers. Et ne pratiquant pas les vols en haute montagne, je ne suis pas à quelques grammes près.
C'est bien souvent que j'ai mis du temps à bien mettre en place les élévateurs de l'UL, et ais eu de mauvais positionnements des commandes de frein malgré une préparation que je croyais bonne.
Et suivant les conditions au décollage, c'est le genre de "soucis" dont je préfère m'abstenir.
Jamais eu un problème avec la quinzaine de premier vols avec la PI2.

A+

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« Répondre #72 le: 07 Février 2017 - 14:47:28 »

On dérape un peu alors je vais jeter un pavé, cela me rappellera mes 20ans...  Mr. Green
Moi j'ai toujours été surdouée en tout, surtout du côté de la modestie et de la solidité des chevilles, accessoirement dans la pratique de la langue française.
A vous de faire le tri.
Plus sérieusement, je suis dotée d'une mémoire assez peu commune (je suis née comme ça et je l'ai éduquée, je n'y peux rien) et j'apprends très vite ce qu'on m'explique, j'apprends énormément en observant, en lisant et en échangeant avec ceux "qui savent". Ayant la chance d'assez bien maîtriser la langue française pour expliquer les choses, il s'ensuit qu'on peut lire ici une abondante littérature.
C'est mon côté cuistre de prof à la retraite.

Quand j'étais garçon, j'étais très doué avec un ballon ovale en mains puis avec des skis aux pieds, je l'ai été aussi avec un volant puis un guidon, sur route comme sur circuit, je travaille très bien dans tous les métiers du bâtiment (sauf le plâtre) et de la mécanique, tout simplement parce que j'ai observé les ouvriers compétents en leur posant des questions quand leur travail ne me semblait pas évident. J'ai la "main verte" mais je suis moins douée pour greffer les rosiers. J'ai appris la couture parce que j'avais besoin de retoucher ce qui n'allait pas sur ma carcasse (évidence) et j'ai fait des robes magnifiques. Maintenant j'apprends la couture à ma fille.

Je ne vole pas trop mal, assez mal pour avoir beaucoup de progrès à faire et assez bien pour pouvoir voler partout en toutes conditions volables mais pas assez bien pour monter en catégorie de voile. La classe C me suffit largement et j'adore ma Diamir.
Je ne vole que depuis même pas 10 ans, je claquerai en août la balise des 10 ans et celle des 2000 vols et il y aura de la bonne bière pour arroser ça.
J'ai l'habitude de faire la régulation du déco de Planfait et d'intervenir à titre bénévole sur toutes les compètes qui ont lieu à Annecy, tout le monde me connaît.

La régulation du déco m'amène souvent à donner des informations techniques à des pilotes peu expérimentés, parfois même à sécuriser leurs décollages mais JAMAIS je ne leur dirai "tu peux y aller", je n'en ai pas le droit. J'ai par contre le droit de leur dire d'attendre quand ce n'est pas bon pour eux.
Quand ma caravane était sur le parking, il est très souvent arrivé que des novices me demandent de les accompagner au col des Frêtes pour leur 1er vol rando. J'ai toujours répondu favorablement, en commençant par inspecter leur matériel pour le compléter en cas de besoin.
J'ai l'habitude de sécuriser une prévol et un décollage et c'est si facile aux Frêtes !.. quand ce n'est pas cul.

Les emmêlements de suspentes ont des causes et c'est si facile à défaire ! C'est plus compliqué quand on a enfourné la voile en vrac dans un sac en la récupérant dans les arbres, surtout un biplace. Là aussi j'ai l'habitude, j'ai "ramassé" des dizaines de pilotes en vrac sous le déco de Planfait.

Certains rouspètent après les suspentes Ozone, fines et toutes de la même couleur, qui font des paquets de nouilles (ne cherchez pas le contrepet, il n'y en a pas) et des clés. Cela ne vient pas d'Ozone mais de leurs pratiques. Je n'ai JAMAIS eu de clé ni d'embrouillamini avec l'Ultralite (Marc non plus), pas même en décollant dans de l'herbe haute avec des fleurs qui accrochent.
Question de pratique.
Il faut beaucoup de rigueur au pliage et à la prévol.

L'avantage d'avoir une mémoire importante est de se rappeler des quantités de situations rencontrées, il y a toujours des leçons à en tirer. Quand on lit les bouquins de Pierre-Paul, par exemple, on comprend que c'est aussi le fruit d'une longue réflexion sur une immense expérience tant pratique que théorique.
En parapente, la théorie n'est pas efficace si la pratique ne suit pas, de même que sans pratique la théorie ne passe pas bien. C'est toute la difficulté de l'enseignement de ce sport merveilleux.
C'est aussi pour ça que nous continuons à faire des stages.
C'est pour ça que, quand nous avons de l'expérience et un bon recul analytique, nous essayons d'en faire profiter les autres.
C'est en tout cas le fil d'Ariane qui me guide.
 trinquer  A Planfait dans un mois, râââhhh !..
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Jusque là , tout va bien !


« Répondre #73 le: 07 Février 2017 - 17:38:49 »

Bonjour,

A tous ceux qui se sentent un peu seuls, en pratique rando-vol, de préférer en terme de facilité de préparation, les élévateurs sangles et les suspentes toutes gainées , je dis que vous n'êtes pas si seuls !
A ceux qui maitrisent difficilement leur ego je ne dis rien !

Amicalement et bons vols rando .
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Mon avis n’à rien d’objectif, puisque c’est le mien !........Mais il reste sincère .
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« Répondre #74 le: 07 Février 2017 - 17:46:51 »


Je ne vole que depuis même pas 10 ans, je claquerai en août la balise des 10 ans et celle des 2 000 vols et il y aura de la bonne bière pour arroser ça.


Salut !  salut !

Je claquerai en août ma balise des 30 ans de vol (mais oui !), mais je n'en suis qu'à 1 100 vols.  hein ?
Si je pense en être à 1 120 vols en août, cela veut dire que tu voles : (2 000/10) / (1 120/30) = 5,4 fois plus que moi en nombre de vols/an.  pouce

J'espère bien fêter mes 30 ans de parapente cet été, pourquoi pas à la bière, et pourquoi pas avec toi (et d'autres bien sûr !), même si on ne se connaît que par le forum ?   trinquer

Marc
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