Ça fait longtemps longtemps que je n'ai plus affaire à la mécanique des fluides mais je me demande régulièrement après des expériences de turbulences aériennes un peu "nouvelles" si nous ne négligerions pas un paramètre ou deux dans ce qui peut nous compliquer l'aérologie avec le changement climatique...
- La viscosité de l'air est-elle suffisemment variable pour qu'elle cause des turbulences plus inattendues maintenant qu'il peut y avoir plus de contrastes d'humidité de l'air ?
- L'élasticité, la compressibilité... peuvent-elles varier à en produire des "granulométries" nouvelles de turbulences qui suffisent à changer la donne pour la fragile et petite méduse des airs ?
(Si au moins nous étions déjà des sujets de l'empereur Trump premier, la question ne se poserait même pas.)
C’est peut-être une question de viscosité mentale. Certains sont très visqueux mentalement.
Il y a même un terme qui circule de plus en plus dans les centres de recherche universitaire sur un sujet qu’on n’a plus le droit de parler sur le forum depuis aujourd’hui qui dit qu’un effet secondaire de plus en plus visible est un « brouillard mental ».
De quoi peut-être à terme clouer des pilotes au sol par ordre du médecin.