édito de la dernière newsletter de
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La semaine dernière, lors de la Coupe Icare à St. Hilaire du Touvet : jusqu'à vendredi, les dieux de la météo se sont montrés charmants et ont permis quelques belles heures de vol. Pour cela, il faut savoir que même s'il n'y a pas beaucoup de règles de vol lors de ce grand festival, celles qui existent doivent être respectées. Cela permet d'assurer la sécurité et le bon déroulement de l'événement.
L'une de ces consignes est la suivante : pas d'atterrissage par le haut sur le haut plateau ! Le transport depuis le lieu d'atterrissage dans la vallée est assuré. Il est intéressant de noter que chaque année, quelques pilotes affirment avec audace : "Des règles ? Pas pour moi !" Bien sûr, les prairies autour de Saint-Hilaire invitent à l'atterrissage. Et bien sûr, on économise le temps passé dans le bus. Mais est-ce vraiment nécessaire ?
Les parapentistes sont par définition des individualistes. Et pourtant, on apprend lors de la formation que nous partageons l'espace aérien avec d'autres et que cette interaction nécessite des règles simples, c'est-à-dire que chacun ne peut pas faire comme bon lui semble. Il en va de même pour une manifestation réunissant un si grand nombre de participants. En fait, je pourrais m'en moquer, mais ce n'est pas le cas.
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