Pour quel intérêt? avoir une position accélérée "bloquée"?
Ce que je visualise et que j’ai de plus en plus envie de prendre le temps de le dessiner, c’est l’accélérateur au pied de la 2 lignes qui donnerait la vitesse autant pour le type de pilotage traditionnel aux arrières que pour la façon « Parakite ». Donc en cas de fermeture, le réflexe instinctif de relâcher l’accélérateur reste le même.
De ma poignée de frein partirait ma ligne de frein #1 en direct vers l’aile et hors poulie de frein (comme une Run&Fly).
Une deuxième courte corde #2 partirait de ma poignée de frein et irais à ma poulie de frein pour ensuite redescendre à la base de mes élévateurs B. (Comme pour la Run&Fly mais sur les B au lieu des D)
La corde qui tient la poulie de frein serait fixé à l’élévateur B de façon que la poulie serait capable de remonter à la hauteur qu’on connaît tous pour pouvoir voler bras haut et serait assez longue pour permettre à la poulie de descendre bien bas pour permettre tous les mouvements de frein normal et atterrissage sans que la ligne de frein #2 se fasse tendre. (Ou très peu tendre)
Une fois pleinement accéléré, le pilotage traditionnel avec les B est possible sans aucun changement.
-position parakite;
Je suis en vol et je décide de mettre mes élévateurs en mode parakite. Rien de plus simple.
Voici 3 idées qui mènent au même résultat avec différents avantages inconvénients sur la simplicité ou l’ergonomie de la manipulation.
Choix 1- Je prends avec mes doigts les poulies de ligne de frein et je les remontes à la hauteur maximale pour les mettre sur un « crochet » fixé aux élévateurs B. Le système parakite devient fonctionnel. Il y a mille formes possibles à donner à ce crochet…
Choix 2- une petite ligne est attachée à la poulie et remonte vers le haut près du mousqueton en passant par un morceau miniature qui pourrait ressembler à un dispositif coinceur d’oreilles de tandem. Donc j’attrape la petite boule au bout de la corde et je la tire vers le haut jusqu’au coinceur « d’oreille »pour faire remonter la poulie. Le système parakite devient fonctionnel.
Choix 3- au lieu du coinceur « d’oreilles » du choix #2, ça pourrait être un petit trims qui serait proche du mousqueton des suspentes B. On tire sur le trim pour mettre le mode parakite en fonction et d’une simple pression du pouce sur le trim, le mode parakite s’enlève.
Dans les 3 cas, ça reste que le matériel ajouté au élévateurs reste très très réduit et simple.
Personnellement je choisirais l’option #1 du « crochet » à poulie qui serait la chose qui paraîtrait le moins sur les élévateurs autant pour le poids que l’espace et très facile à décrocher avec juste un botté de doigts à l’aveuglette vers le haut et ça n’ajoute pas de lignes molle qui se balade devant les yeux.
Avec ce principe de parakite qui peut s’activer même en étant déjà accéléré, la course des B double.
Tu dis Flying tom que d’avoir une course aux arrières plus longue enlève de la précision.
Je pense le contraire. De pouvoir bouger les mains sur 10 pouces au lieu de 5 pouces, je trouve que ça augmente la quantité du finetuning. C’est plutôt la vitesse d’action qui diminue par 2 avec en contrepartie 2 fois plus de facilité pour garder les arrières en main.
Tout ça étant ajusté pour que les freins entrent en action vers la fin du débattement comme pour une Moustache.
Sur mon système simple au maximum (pour une 2 lignes), il n’y a aucune poulie supplémentaire qui est ajoutée. C’est la même poulie qui passe de libre à fixe. Pour l’option #1, il ne faut que l’ajout de la courte ligne #2 et d’un crochet voir peut-être une poulie faite avec une forme sur mesure pour bien aller avec le crochet.
Je permet à tous les constructeurs de prendre mon idée sauf à Sup’Air qui me font chier.