un tableau récapitulatif par la rtsles nomes des casque Outdoors par ExpemagOn voit souvent en parapente ou à ski de rando des personnes utilisant des casques de montagne, il se trouve que ces casques, « purs » montagne ne sont souvent pas adaptés pour absorber l’énergie de chutes qui vont toucher les zones périphériques (chocs latéraux/frontaux) ; ils sont en effet surtout faits pour protéger des chutes de pierres, donc le dessus est renforcé, et c’est là que se trouve l’absorbeur (type polystyrène ou mousse dense), mais il n’y a pas de zones absorbantes sur les côtés de nombreux modèles. En revanche, pour les casques homologués vélo, il faut ces zones absorbantes sur les côtés (type polystyrène/mousse dense), puisque les chocs se localisent très souvent sur la zone périphérique du casque (la partie frontale en cas de soleil par ex.). Mais en grimpe, ou en alpinisme, on peut aussi faire des chutes et la tête peut percuter le rocher comme après une chute à vélo. Alors un casque aux normes montagne, sans absorbeurs latéraux, est certes un casque aux normes de l’activité, mais il ne protège pourtant pas de manière efficace pour cette activité, ce qui est vraiment dommage. Bref, préférer un casque multi-homologation montagne / cycle pour l’alpinisme paraît être un choix très judicieux. Et pour revenir au parapente, ou au ski de rando, il faut prendre des casques avec absorbeurs périphériques et pas des casques « de base » alpinisme, qui ne protégeront pas du type de chute que l’on rencontre le plus souvent dans ces activités ; donc faute d’un casque spécifique, il est préférable de prendre un casque homologué cycle.
Merci pour ces informations! Au moins on y voit un peu plus clair...
Les esprit les plus taquins ne manqueront pas de remarquer que les normes ne sont pas non plus l'évangile dans le monde des casques