M. Lassalle,
Je sais, depuis que j'ai commencé à écrire, que c'est un combat de tous les jours, pour moi, de ne pas faire de faute.
Je connais les règles, je sais les appliquer, à posteriori, et nombre de mes enseignant(e)s sont devenu(e)s chauve à essayer de comprendre le décalage qu'il pouvait y avoir entre ma réussite lors d'exercice sur l'orthographe et la grammaire et ma faiblesse en dictée et en orthographe lors de rédaction.
A 30 ans, en reprenant mes textes en en analysant mes production, ma sœur devenue orthophoniste m'a expliqué que j'aurais pu/du être diagnostiqué dysorthographique/dyslexique. C'était un peu tard, ma scolarité étant finie et mes problèmes ayant étaient sinon résolus tout au moins contournés pour éviter que cela ne paraissent trop.
Je suis surpris, parce qu'il me semble que c'est probablement la première fois qu'un de mes messages fait l'objet de votre oeil avisé. J'ai pu raté des précédents, peut être.
Dans tous les cas, si vous reprenez mes messages sur le forum, vous devriez retrouver nombres de faute d'orthographe, les majoritaires étant :
- l'absence de marque de pluriel sur des verbes ou des noms
- des participes passés de verbe du 1er groupe en lieu et place d'infinitif et inversement
- l'absence récurrente d'accent, principalement sur les a
Je suis bien conscient que l'orthographe défini les règles permettant la transmission d'un message écrit d'une personne à une autre, un socle commun à partager pour un meilleur vivre ensemble et je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour la gêne occasionnée.
Je ne peux vous assurer que je ne recommencerai pas, ce serait un vœux pieu de ma part mais un mensonge.
Sachez tout de même que j'y fait attention, même si la qualité de mes rendus ne le laisse pas forcement paraître.
Bonne journée