+ Le chant du vario +

Du coup je prends le temps de vous proposer un jeu.
Prenez vos 5 (10 ?) plus grands contradicteurs. Ceux qui vraiment ont des opinions contraires aux votres. Ceux dont vous n'aimez pas la façon de dire les choses. Ceux qui vous hérissent le poil quand vous les lisez.

Ëtes-vous capable de leur trouver des qualités réelles et sincères ?

Il n'y a rien à gagner,
Je laisse les résultats cachés pendant 15jours jusqu'à l'expiration du sondage. Vous pouvez donc jouer franc jeu  :pouce:

Ceux qui m'énervaient vraiment beaucoup je leur ai pardonné pour ne pas compromettre leur arrivée au paradis...
 :sors:

C'est sûrement très malpoli de ma part mais c'est pourtant utile de te signaler que l'objet de ta question n'apparait pas dans l'encart du sondage...

Ensuite en devinant que l'objet serait "vos contradicteurs" je ne trouve pas l'option de ma réponse qui serait "à priori tous" ou plutôt "tous y compris ma part contradictoire interne".

Par contre je ne peux pas blairer qu'un contradicteur (ou un soutien) prétende discuter un sujet sans projection, parti-pris affectif, peurs... Quand le contradicteur (ou le soutien) est un surhomme, qu'il commence par aller se faire enculer avant de discuter.

:trinq: Merci, c'est corrigé

ça c'est... :grat: comment dire  :tomate: mal formulé ? :marteau:

Ça à l'avantage d'illustrer à quels "types" de contradicteurs" je ne peux pas trouver de qualité.

Pour ce qui est du sondage, je ne suis pas gêné pour déjà exprimer ma réponse. J'ai mis "3 ou 4", j'aurais sans doute même pu mettre "5 ou +" mais ça m'aurait demandé plus de temps de réflexion pour rassembler mes souvenirs de contradicteurs avec qui je suis vraiment en opposition sur presque toutes nos convictions mais à qui je reconnais volontiers des qualités.

Rien ou vraiment très peu est tout noir tout blanc. Mais certains sont quand même très très gris... sombre.

Je viens de répondre au sondage.
Je sais que certains ici sur ce forum critiquent parfois certaines de mes interventions.
C'est tout à fait leur droit de le faire tant que cela reste poli et tolérant des opinions de chacun.
J'ai donc répondu de façon très positive à ce sondage.  :lol:

Il n'y a qu'un seul membre de ce forum qui m'a agressé de façon absolument incroyable avec des messages injurieux, insultants, mensongers et diffamatoires (je ne sais vraiment pas pourquoi alors que nous ne nous connaissons pas  :grat: ).
Mais comme il n'intervient plus sur ce forum depuis très longtemps, je n'en ai pas tenu compte dans ma réponse au sondage ! :lol:

Marc

La qualité d'un contradicteur est de démontrer qu'on a raison.   :lol:

J'ai voté entre les deux,. Autant je pourrais parfaitement aller boire un verre sans rancune après un débat pénible, mmeme un dialogue de sourds, avec un contradicteur qui se focalise sur les idées, le sujet du débat, autant j'ai du mal à blairer ceux qui attaquent les personnes plutot que leurs idées.

Par exemple dans le débat sur le libéralisme, le gars qui se contentait de résumer tous les libéraux à des égoistes sans jamais essayer de contre-argumenter :



Mouais, alors je peux comprendre ce point de vue dans certaines situations, mais il y a aussi l'autre extreme :  le contradicteur qui ne veux jamais faire abstraction de l'émotion. C'est la garantie que rien d'intelligent ne peut émerger du débat et que personne ne changera jamais d'avis. Je ne vois pas bien l'intéret de participer à un débat dans une section "vie de la cité" si on ne veut meme pas essayer de réfléchir rationnellement. Qu'on n'y arrive pas toujours, c'est parfaitement compréhensible. Qu'on refuse d'essayer,  c'est inexcusable. Surtout que nous sommes sur un format écrit, et c'est tellement plus facile de réfléchir avant de poster que de réfléchir avant de parler.

Du coup je préfère largement le gars qui prétend discuter sans parti-pris affectif et se trompe que celui qui lui demande de se faire enculer.

J'imagine qu'il y a deux catégories de contradicteurs, ceux qui sont là pour le plaisir de l'exercice intellectuel et ceux qui ne sont là que pour convaincre les autres de leur opinion. Et j'avoue que pour ce deuxième but l'émotion marche infiniment mieux que la raison. La meilleure illustration c'est Javier Milei qui avec son style exhuberant a réussi à se faire élire et à faire passer des réformes dans un pays qui à priori n'avait pas du tout de culture libérale vs les libertariens américains qui peinent à dépasser un pourcent des voix avec leurs arguments académiques dans le pays qui a la culture libérale la plus développée au monde.